CADEAU - CE LIVRE

Téléchargez tout de suite mon livre best seller vendu à 10.000 exemplaires, d'une valeur de 40€, composé de 400 pages

JOUER A LA BOURSE QUAND ON TRAVAILLE

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Oui, j'ai utilisé un pseudo et j'assume pour la première fois la paternité de ce livre. Je vous raconte toute l'histoire ci dessous

Charles Dereeper Charles Dereeper
Fondateur d'Objectifeco

Ce que je n'ai jamais dit à propos du livre JOUER A LA BOURSE QUAND ON TRAVAILLE

Je vais vous raconter l'histoire de ce livre car elle est particulière. Tout a commencé en 1999 quand à 26 ans, je franchis la ligne rouge et je me sers sur des gains de clients à hauteur de 50.000€ de manière illégale (illégal a à l'époque du mal à arriver à mon cerveau car j'ai un vrai problème avec les limites).

L'AMF me prend en otage, saisit tout ce que j'ai jusqu'à être incapable de payer un avocat et échange un non procès contre une simple sanction / interdiction,  la plus grande erreur de ma jeunesse que d'avoir accepté ce deal à la con.

L'AMF ira même jusqu'à considérer un arbitrage que j'ai réalisé sur les warrants CAC 40 de la Société Générale en gré à gré comme un vol, ce qui était ridicule. Le marché des warrants à l'époque est plein de défaut et tout a été étouffé. J'étais trop jeune pour comprendre ce monde, leur rentrer dans le lard et internet n'existait pas.

Pour vous dire, sans chercher à me dédouaner de ce que j'ai fait, l'AMF a réussi à écrire que j'avais volé plus d'argent que le chiffre d'affaires de la société, donc que 100% de mes opérations perso n'étaient que du dérapage, y compris des commissions commerciales et qu'en plus, par l'opération du saint esprit de gains, je devais rembourser encore plus ! Ma haine du fonctionnaire français a démarré ce jour là... Je me souviendrais à vie de leur promesse pour essayer de faire tomber la fiduciaire suisse qui gérait ma société BVI. Et le jour J, à ma stupéfaction, devant la commission de discipline, ils ont raconté n'importe quoi (il ne faut pas s'étonner si j'ai fait payer à la France au centuple ce vol grâce à mon ingéniosité fiscale que j'ai perfectionné par la suite... entre voleurs, y a pas de pitié, sauf que l'un se porte garant de la loi, de la justice, de l'égalité, des valeurs violées tellement de fois que ma vie est devenue bien plus propre que le grand Etat qu'est la France...)

Je perds donc 5 ans de vie pro en un clin d'oeil. Mais surtout, par mon erreur, par mon choix de la fuite et de la peur, je vais enclencher un cycle infernal.

Je perds...

...mon job de trader.

Puis je perds...

...mon job de journaliste à la Vie Financière car les Echos publient mon histoire. Comme j'ai un diplôme de premier niveau d'expertise comptable que je n'ai jamais pratiqué, personne ne veut de moi en comptabilité. Du reste, j'aurais bien été incapable après 7 ans de salle de marchés de compter quoique ce soit... Me voilà en 2003. Je suis ruiné sans possibilité de retrouver du travail puisque mes deux domaines (journalisme et trading sont grillés et mon diplôme n'a pas d'expérience pro au compteur). Tous mes CV n'aboutissent jamais. Je suis en un mot... dans la merde !

Je suis au RMI...

Je compte chaque euro pour juste pouvoir manger et payer mon loyer avec ma copine. Pas marrant. Je traîne dans les bas quartiers français, ASSEDIC, ANPE, dossiers, files d'attente, cas sociaux des deux côtés de la barrière avec de la bêtise humaine en excès partout.

L'argent est là quand on cherche à anticiper le futur

Je ressors de mes cartons un projet que j'ai présenté à la Tribune en 1997 sur la nature même de l'information financière. J'avais expliqué à l'époque à 24 ans que l'information financière française était verrolée par nature, car elle parlait du passé déjà réalisé ou cherchait de manière souvent très imparfaite à comprendre le présent. Le seul intérêt éventuel de la démarche consiste à comprendre le présent pour tirer des leçons et ne pas recommencer, donc faire des gains de productivité. Mais c'est à peu près tout. Et d'ailleurs même cela, les journalistes ne le font pas. Les gains de productivité ne les intéressent pas. Ils veulent juste raconter les conneries du moment, la rhétorique du pouvoir et les salades de la norme sociale.

La seule information à forte valeur ajoutée qui comptait selon moi, était celle qui cherchait à anticiper le futur.

J'évais décroché un meeting avec le big boss de la Tribune...

Il n'a pas duré longtemps. Merci Monsieur Dereeper pour ce dossier de 70 pages. C'est intéressant, mais on ne peut pas le mettre en oeuvre ni le produire à grande échelle. (j'avais traduit à l'époque dans ma tête que les journalistes étaient donc trop cons pour mettre en oeuvre une chose que la direction jugeait intéressante hahahahahaa. J'ignorais en fait que les clients en masse désiraient plus que tout, des informations qui ne servent à rien, juste pour se distraire, s'acheter une image sociale et ne surtout pas utiliser leurs neurones. Je n'avais pas saisi à cette époque que les gens adorent se faire tondre et se soumettre surtout si on leur dit qu'ils sont beaux, grands, forts et que leur sexe est énorme...)

Bref, je décide de lancer une maison d'édition dédiée à tester ce concept d'informations focalisées sur le futur et le témoignage des meilleurs.

Quand le destin décide de vraiment tout détruire sans rien laisser

En janvier 2004, je suis toujours au RMI...

Dieu a décidé lui que je devais en chier un peu plus encore.

Sans job, sans argent, méthodiquement il continue d'abattre ma vie. Pan par pan.

Je ne bouffe plus. Je pèse 58kg.

Mon chat meurt...

Mon chat, mon premier, que j'aimais comme un fou, meurt à l'âge de 2 ans sur une crise d'épilepsie. Ce fut une énorme claque émotionnelle.

Mon voisin fait cramer son appart intégralement...

Du jour au lendemain, je suis éjecté à la rue et perds l'intégralité de mes affaires perso qui nécessiteront des longs mois de nettoyage. L'assurance qui disparaît dès lors qu'il s'agit d'évaluer mon préjudice...

Pour finir, j'arrête avec ma première longue relation amoureuse...

Ha si je tente de passer le permis de conduire. Le jour de l'examen, au dernier moment, à 1 minute de la fin alors que tout se passait bien, une connasse traverse au milieu de nulle part devant moi, bien loin des passages piétons, sans prévenir et voilà que le mec m'insulte pendant 3 heures que

je suis un danger de la route...

que je mets la vie d'autrui en danger et que je peux me brosser pour avoir mon permis de conduire à 30 ans.

Irréel...

Voilà, je suis nu. Je n'ai plus rien du tout. Je suis comme les descriptions fictives des pages marketing de vente de formations sur l'enrichissement... sauf que c'est du réel. Je me souviens même avoir interrogé le ciel une fois en lui demandant de faire quelque chose de moi ou de reprendre ma vie car j'étais arrivé à court d'options.

Quand j'y réfléchis aujourd'hui depuis mon appart de 400m² à Bangkok, avec mes 5 maisons au Costa Rica, les 150 femmes que j'ai attrapé depuis 2010 et tous mes projets professionnels, je me dis que tout est toujours possible pour les gens déterminés. Parce que je reviens vraiment de loin. En 2004, c'est simple.

Je n'ai rien du tout de ce qui fait la vie d'un français. Je suis au fond du trou. Puni !

A cette époque, il me reste juste mes idées qui ne peuvent pas être mises en oeuvres selon les professionnels du secteur de l'information financière.

Je commence à écrire des livres sur ce que j'ai vu et expérimenté que je publie. Je publie aussi quelques livres de copains.

Je migre chez ma grand mère à Tours dans la petite maison de mon enfance vu que je ne peux plus payer de loyer  ni espérer en décrocher un nouveau.

Je rencontre un nouveau chat totalement sauvage qui va me demander 8 mois pour se laisser apprivoiser. Elle est de toute beauté cette bestiole. Je l'adore !

Et la machine repart de zéro... du néant où je suis

En 2005, j'ai envie d'écrire un livre pour le grand public, un livre dans lequel je vais y mettre de l'énergie. J'ai envie de donner. Sur la dizaine de livres que j'ai écrit, c'est le livre dans lequel je vais injecter mon état du moment. Chaque jour, j'y passe 5 heures à réfléchir aux gens, à la bourse, à ce qu'ils ne comprennent pas, à ce qu'ils comprennent bien. Les français ont un désamour total des actions, alors que les actions, les entreprises sont le seul outil fiable pour créer de la valeur à long terme.

Je vais écrire JOUER A LA BOURSE QUAND ON TRAVAILLE

Chaque jour mon chat sauvage me rejoint désormais et s'installe entre mon ordi et moi, dans la petite maison de mon enfance avec ma grand mère bien aimée et bienveillante. Et je vais pondre 400 pages. Ce livre va exploser dans les rayons.

Vendu à 40€ à 10.000 exemplaires, le chiffre d'affaires fera 400.000€ donc !

Dans l'industrie du livre de l'époque, tout le monde bouffe. Les impôts, les distributeurs, les FNAC et librairies, les imprimeurs. Je pense qu'il a fini par me rester en tant qu'auteur et éditeur autour de 100.000€.

100.000€ pour un rmiste, je vous avouerais qu'à l'époque, c'était très très appréciable.

Et je vais enchaîner 2 autres bestsellers avec ma vision de 1997 sur l'information financière.

Dès 2006, je roule en Audi TT 225ch, j'ai migré à Rennes pour une nouvelle vie.

Ce livre JOUER A LA BOURSE a été écrit il y a 10 ans. A l'époque, la transmission d'ordre automatique n'existait pas. Les logiciels boursiers n'avaient rien à voir. Le trading haute fréquence n'existait pas. C'était une autre bourse, plus humaine, où les meilleurs humains gagnaient contre les machines.

C'est un livre qui a touché le public. Son message a plu !

J'ai choisi comme pseudo FABIEN LIGNON qui était le nom modifié d'un responsable marketing d'un coutier qui m'a sponsorisé.

J'avais peur que mon passé AMF nuise.

Sans auteur pour porter le projet avec l'anonymat, juste sur du bouche à oreille, 10.000 ventes auront lieu, ce qui était énorme. Les livres à 10.000 ventes se vendaient presque toujours à 20€. 10.000 ventes sur la catégorie élitiste des livres à 40€, c'était une sacrée belle performance.

C'est un belle grimace à la Tribune aussi qui avait négligé deux ou trois détails pour ses pages bourse et la vision d'un gamin naïf que j'étais.

C'était enfin le livre témoin d'une belle recovery, la mienne.

Je lui suis éternellement reconnaissant.

Mais surtout, je suis nostalgique de ma pauvreté de l'époque et de la lumière, des idéaux, de la qualité exceptionnelle d'énergie qui m'habitait.

C'est quand on pousse un homme dans ses retranchements qu'il peut donner le meilleur de lui même !

C'est quand on est désespéré qu'on se met à penser en dehors du cadre et que les actes de création sont les meilleurs, les plus éblouisssants.

Quand on a le ventre bien plein comme le mien aujourd'hui, ce n'est plus possible d'avoir peur.

Ce n'est plus possible d'avoir la force de changer littéralement le présent. Car le présent est confortable et acceptable.

Voilà tout ce que JOUER A LA BOURSE QUAND ON TRAVAILLE représente pour moi.

Je vous l'offre de bon coeur et j'espère que vous apprécierez sa lecture.

Charles

CADEAU - CE LIVRE

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